"Je suis censée pleurer la mort de ma soeur, pas tomber amoureuse..."
Comment Lennie peut-elle continuer à vivre après une telle tragédie? A-t-elle encore le droit de plaire et de désirer? D'être heureuse, de rire? Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...
Comment Lennie peut-elle continuer à vivre après une telle tragédie? A-t-elle encore le droit de plaire et de désirer? D'être heureuse, de rire? Parfois, il faut tout perdre pour se trouver...
Mon Avis:
Dans le cadre du challenge « Un peu d’océan sur mon roman » organisé par le forum Have a Break, Have a Book, j’ai enfin sorti ce roman de ma PAL. Le Ciel est Partout, de Jandy Nelson, nous entraine auprès d’une jeune fille nommée Lennie qui vient de perdre sa sœur Bailey.
En commençant ce roman, j’avoue avoir eu un peu peur de me retrouver dans un livre très jeunesse, un peu trop gnangnan malgré le drame rythmant ces pages, j’ai eu peur de me retrouver dans une éternelle histoire de triangle amoureux… Et finalement, l’auteur utilise sa plume avec subtilité ; et derrière cet aspect léger joue avec les mots pour faire passer de fortes émotions et sentiments. Je me suis attachée à chacun des personnages, ayant tous une personnalité bien à eux, spéciaux mais avec un cœur immense.
Dans ce livre, nous comprenons toute la difficulté qu’est de vivre après la mort de l’être qui nous est le plus cher. A-t-on le droit de rire, de s’épanouir, de tomber follement amoureux ? A-t-on le droit d’avancer alors que cette personne ne vivra plus toutes ces choses qui rendent vivants, heureux ?
Nous suivons donc ici Lennie, que nous voyons évoluer au fur et à mesure du roman ; cette jeune fille d’abord renfermée, qui va éclore telle une rose, au début fébrile puis de plus en plus sûre d’elle. A-t-elle le droit de sentir qu’elle trouve enfin sa place depuis la mort de sa sœur ? Qu’elle n’est enfin plus l’ombre de celle-ci, mais bien elle-même ?
Un roman qui va danser entre bonheur et douleur, joie et culpabilité, espoir et désespoir. Jandy nous porte à travers ses mots valsant entre amour et deuil…
Vous l’aurez compris ce roman aux aspects enfantins révèle une vraie profondeur, un message fort…
4,6/5
En commençant ce roman, j’avoue avoir eu un peu peur de me retrouver dans un livre très jeunesse, un peu trop gnangnan malgré le drame rythmant ces pages, j’ai eu peur de me retrouver dans une éternelle histoire de triangle amoureux… Et finalement, l’auteur utilise sa plume avec subtilité ; et derrière cet aspect léger joue avec les mots pour faire passer de fortes émotions et sentiments. Je me suis attachée à chacun des personnages, ayant tous une personnalité bien à eux, spéciaux mais avec un cœur immense.
Dans ce livre, nous comprenons toute la difficulté qu’est de vivre après la mort de l’être qui nous est le plus cher. A-t-on le droit de rire, de s’épanouir, de tomber follement amoureux ? A-t-on le droit d’avancer alors que cette personne ne vivra plus toutes ces choses qui rendent vivants, heureux ?
Nous suivons donc ici Lennie, que nous voyons évoluer au fur et à mesure du roman ; cette jeune fille d’abord renfermée, qui va éclore telle une rose, au début fébrile puis de plus en plus sûre d’elle. A-t-elle le droit de sentir qu’elle trouve enfin sa place depuis la mort de sa sœur ? Qu’elle n’est enfin plus l’ombre de celle-ci, mais bien elle-même ?
Un roman qui va danser entre bonheur et douleur, joie et culpabilité, espoir et désespoir. Jandy nous porte à travers ses mots valsant entre amour et deuil…
Vous l’aurez compris ce roman aux aspects enfantins révèle une vraie profondeur, un message fort…
4,6/5