- Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi
- Katherine Pancol
- Albin Michel
- 864 pages
- 24,20 €
- ISBN: 9782226208316
Souvent la vie s'amuse.Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi...
Mon Avis:
Après avoir lu Les Yeux Jaunes des Crocodiles et La Valse lente des Tortues, de Katherine Pancol, c’est donc tout naturellement que je me suis lancée dans le dernier tome Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi, pour continuer à suivre les aventures de Joséphine, Shirley, Hortense et bien d’autres personnages…
Après avoir eu un coup de cœur pour le premier tome, après avoir adoré le second… cela a été une déception pour ce troisième tome…
Loin de l’avoir détesté, je l’ai cependant trouvé long, beaucoup moins prenant et intéressant, contrairement aux deux autres, j’ai mis beaucoup de temps à le lire, perdant de mon attachement pour les personnages. J’ai l’impression que ce troisième tome a été chargé d’informations pour faire durer l’histoire.
Nous retrouvons Joséphine qui dans ce tome-là, je dois l’avouer, ne m’a pas intéressé du tout… Elle n’est plus le centre du roman, le pilier… On la voit uniquement concentré sur l’écriture de son deuxième livre, et rien d’autre… même son amourette avec Philippe prend une couleur fade.
Shirley, qui était un de mes personnages favoris, devient ici aussi inintéressante, ennuyeuse, effacée…
Marcel, Josiane et leur fils, bien que présent, n’ont pas réussi à m’accrocher, je trouve leur histoire trop tirée, pas prenante…
Seule le duo Hortense-Gary a su me tenir en haleine, ici la petite peste prend une place plus importante, elle mûrit, elle évolue, ma vision sur elle a donc changé; et même si ce n’est pas le genre de fille que j’apprécie dans sa manière d’être, le fait qu’elle devienne un peu plus humaine, qu’elle grandisse et comprenne qu’elle ne peut pas tout contrôler, m’a rapproché de ce personnage qui m’irritait au plus haut point dans les tomes précédents.
Donc contrairement au deuxième tome que j’avais adoré, malgré certains points qui m’avaient dérangé. Ici, je n’ai pas aimé mais quelques points positifs m’ont permis de ne pas avoir une déception totale et de maintenir un niveau « raisonnable ». Pour être franche, j’aurai préféré ne pas lire ce dernier tome, et laisser mon imagination voguer quant au futur de ces personnages que j’aimais tant… Je les quitte avec ce troisième et dernier tome où mon enthousiasme et mon affection ont bien chuté…
Après avoir eu un coup de cœur pour le premier tome, après avoir adoré le second… cela a été une déception pour ce troisième tome…
Loin de l’avoir détesté, je l’ai cependant trouvé long, beaucoup moins prenant et intéressant, contrairement aux deux autres, j’ai mis beaucoup de temps à le lire, perdant de mon attachement pour les personnages. J’ai l’impression que ce troisième tome a été chargé d’informations pour faire durer l’histoire.
Nous retrouvons Joséphine qui dans ce tome-là, je dois l’avouer, ne m’a pas intéressé du tout… Elle n’est plus le centre du roman, le pilier… On la voit uniquement concentré sur l’écriture de son deuxième livre, et rien d’autre… même son amourette avec Philippe prend une couleur fade.
Shirley, qui était un de mes personnages favoris, devient ici aussi inintéressante, ennuyeuse, effacée…
Marcel, Josiane et leur fils, bien que présent, n’ont pas réussi à m’accrocher, je trouve leur histoire trop tirée, pas prenante…
Seule le duo Hortense-Gary a su me tenir en haleine, ici la petite peste prend une place plus importante, elle mûrit, elle évolue, ma vision sur elle a donc changé; et même si ce n’est pas le genre de fille que j’apprécie dans sa manière d’être, le fait qu’elle devienne un peu plus humaine, qu’elle grandisse et comprenne qu’elle ne peut pas tout contrôler, m’a rapproché de ce personnage qui m’irritait au plus haut point dans les tomes précédents.
Donc contrairement au deuxième tome que j’avais adoré, malgré certains points qui m’avaient dérangé. Ici, je n’ai pas aimé mais quelques points positifs m’ont permis de ne pas avoir une déception totale et de maintenir un niveau « raisonnable ». Pour être franche, j’aurai préféré ne pas lire ce dernier tome, et laisser mon imagination voguer quant au futur de ces personnages que j’aimais tant… Je les quitte avec ce troisième et dernier tome où mon enthousiasme et mon affection ont bien chuté…
3,5/5