
Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique. Un notable meurt. Sa place est à prendre... Comédie de mœurs, tragédie teintée d'humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.
Mon avis:
Je dois vous l’avouer, sous peine de flagellation, mais je n’ai pas lu (ni vu) l’intégralité des Harry Potter, m’étant arrêté au début du quatrième tome, qui était trop long à démarrer selon moi… Je n’ai pas pris le temps de me replonger à nouveau dans cette saga, même si je compte bien le faire ! Enfin bref, tout ça pour vous dire que je me suis lancée dans Une place à prendre, de J.K. Rowling, afin de voir à quoi pouvait ressembler son écriture pour adulte, mais aussi pour comprendre les écarts d’avis sur ce roman. Suite à la mort d’un notable apprécié par tous, sa place au Conseil Paroissial est désormais libre, et plus d’un souhaite la prendre !
Même si j’ai personnellement beaucoup aimé ce roman, je tiens à dire que je comprends parfaitement pourquoi il n’a pas plu à d’autres ! Comme la trilogie de Katherine Pancol, il s’agit plus là d’une histoire de vie que d’un roman d’action. Rien de bien particulier ne s’y passe, on suit ici l’histoire d’un village, avec la vie des différents habitants qui se croisent. C’est le genre de récit que j’aime retrouver de temps à temps à autre, j’aime me plonger dans la vie de ces personnes (oui, oui, ca fait commère), rentrer de ces histoires qui peuvent être bien réelles ; mais évidemment, cela peut paraitre ennuyeux pour beaucoup de lecteurs.
J’ai trouvé ce roman très complet au niveau des personnages, où l’on peut retrouver les vices de son entourage, mais aussi leurs qualités. Ici, nous côtoyons adultes comme adolescents, nous changeons de visions et cela nous apporte une vue complète sur ce qui est perçu de tous les côtés. Pour ma part, je me suis attachée à ses personnages, même aux plus méchants d’entre eux, puisqu’après tout, chaque passé construit la personne que l’on devient, qu’on le veuille ou non, et cela est flagrant dans ce récit.
Est abordé également les problèmes de société, avec la présence de cité «à la charge des plus riches », cette pauvreté qui dérange, qui appelle la misère, la drogue, la maltraitance. Mais également la difficulté de l’intégration quand on arrive dans un nouveau village, le harcèlement scolaire…
En bref, une petite histoire de vie comme je les aime, simple et complète à la fois. On finit même par s’habituer à cet environnement et à croire que l’on fait parti du décor, que l’on connait ses gens, qu’on peut venir les secouer ou les aider. J’ai toujours un mal fou à quitter ce genre de récit, un peu comme si je quittais des proches, comme si je les laissais sans savoir ce qui se passe ensuite dans leur vie.
Même si j’ai personnellement beaucoup aimé ce roman, je tiens à dire que je comprends parfaitement pourquoi il n’a pas plu à d’autres ! Comme la trilogie de Katherine Pancol, il s’agit plus là d’une histoire de vie que d’un roman d’action. Rien de bien particulier ne s’y passe, on suit ici l’histoire d’un village, avec la vie des différents habitants qui se croisent. C’est le genre de récit que j’aime retrouver de temps à temps à autre, j’aime me plonger dans la vie de ces personnes (oui, oui, ca fait commère), rentrer de ces histoires qui peuvent être bien réelles ; mais évidemment, cela peut paraitre ennuyeux pour beaucoup de lecteurs.
J’ai trouvé ce roman très complet au niveau des personnages, où l’on peut retrouver les vices de son entourage, mais aussi leurs qualités. Ici, nous côtoyons adultes comme adolescents, nous changeons de visions et cela nous apporte une vue complète sur ce qui est perçu de tous les côtés. Pour ma part, je me suis attachée à ses personnages, même aux plus méchants d’entre eux, puisqu’après tout, chaque passé construit la personne que l’on devient, qu’on le veuille ou non, et cela est flagrant dans ce récit.
Est abordé également les problèmes de société, avec la présence de cité «à la charge des plus riches », cette pauvreté qui dérange, qui appelle la misère, la drogue, la maltraitance. Mais également la difficulté de l’intégration quand on arrive dans un nouveau village, le harcèlement scolaire…
En bref, une petite histoire de vie comme je les aime, simple et complète à la fois. On finit même par s’habituer à cet environnement et à croire que l’on fait parti du décor, que l’on connait ses gens, qu’on peut venir les secouer ou les aider. J’ai toujours un mal fou à quitter ce genre de récit, un peu comme si je quittais des proches, comme si je les laissais sans savoir ce qui se passe ensuite dans leur vie.